À propos du «pavillon des espèces disparues»
Avec l’exposition universelle de Paris 1900, la France affirmait sa fierté, son dynamisme technologique et artistique dans les fastes de la Belle Epoque et de l’Art Nouveau.
Elle entrait dans un nouveau siècle et accueillait les pavillons de quarante pays du monde entier.
On y circulait sur un trottoir roulant à deux vitesses.
À Paris, voient le jour les Petit et Grand Palais, le palais de Chaillot, l’usage nocturne de l’électricité et, la construction des gares d’Orsay et de Lyon dans leur aspect contemporain, ainsi que le métro parisien.
Sans oublier, la tour Eiffel en 1889.
Ainsi j’ai imaginé aujourd’hui le pavillon de notre époque symbolisant l’impact néfaste de l’homme sur l’extinction des espèces animales et la nécessité de sauver les systèmes vitaux et fondamentaux de l’humanité.